Ils nous racontent...
L'histoire de Christophe et Agnes
Une histoire abracadabrante, faite de rebondissements et d’imprévus, un doux rêve espagnol qui aurait pu se transformer en cauchemar si nos clients s’étaient lancés seuls dans cette aventure. C’est l’histoire de Christophe et Agnès, aujourd’hui propriétaires d’une belle maison à L’Eliana (Valencia)
Cette quatrième histoire nous est racontée par Tristan, agent et chasseur de l’agence de Valence.
La rencontre
« Christophe et Agnès sont bel et bien décidés à acheter une maison pour passer leur retraite sous le soleil valencien, dans cette ville qu’ils affectionnent tout particulièrement.
Ils connaissent très bien la région, comprennent l’espagnol, et savent exactement quel type de maison pourrait leur plaire. Pourtant, ils décident de faire appel à notre service d’accompagnement car ils connaissent très bien l’immobilier, mais seulement en France ! Ils ont conscience qu’acheter un bien demande efforts et vigilance, mais c’est d’autant plus le cas quand il s’agit d’acheter à l’étranger (négociations, démarches juridiques et administratives..).
Lors de notre première rencontre à l’agence, ils m’on demandé de les accompagner, mais aussi et surtout de les rassurer et de les conseiller sur leurs choix.
Les visites
Nous avons visité une dizaine de maisons en à peu près un mois jusqu’à ce qu’ils décident de passer le pas et réserver une maison : « un coup de cœur » ! Ils font une offre mais pas de bol, les propriétaires sont en pleine séparation et ne souhaitent pas du tout négocier. Il n’y aura pas de consensus. Passer à autre chose n’est pas chose facile, mais c’est le conseil que je leur donne par téléphone suite à leur retour en France. Il ne faut pas baisser les bras, et continuer les recherches.
Bingo ! Le mois suivant, nous visitons une maison magnifique, potentiellement plus intéressante et moins chère que la première. Le seul hic, c’est que nous apprenons que la vendeuse souhaite séparer en deux une partie de son terrain (chose peu courante), mais ce n’était pas un frein pour leur achat et je les rassure en expliquant qu’avec un compromis de vente, ils seront protégés à 100 %.
Ainsi nous rentrons de nouveau dans une négociation avec une première offre agressive, qui nous emmène sur une contre offre plus élevée pour trouver un accord (-10.000€ sur le prix initial).
L'achat
es démarches avancent et nous préparons le compromis de vente avec l’aide de notre avocat : les deux parties signent l’accord et nous pensons pouvoir signer la vente en un mois, sous réserve que la mairie délivre la licence fixant la séparation du terrain.
Nous apprenons quelques jours plus tard que l’agent responsable de la demande de séparation a mal fait les choses : 300 m² de terrain doivent être ajoutés à la vente, à la charge des acheteurs. L’agent nous annonce une estimation bagatelle de 30.000€
L’agence m’en fait part et je réponds que les acquéreurs ne rajouteront pas 1 centime de plus.
La négociation dure deux semaines, une vraie partie de tennis entre tous les intermédiaires de cette vente, mais nous obtenons gain de cause et la vente suit son cours. Les 300 m² de terrain seront ajoutés « gratuitement » au moment de la vente.
Suite à cette péripétie, je reste constamment en contact avec l’agence afin de connaître l’avancement de la licence, de manière à tenir informé les acheteurs des délais. Ils ont hâte de signer et d’entrer dans leur nouveau « chez soi » ! L’agence m’informe que les délais vont malheureusement être rallongés.
Agnès et Christophe souhaitant acheter rapidement, nous faisons marcher notre réseau pour accélérer l’obtention de la licence grâce à un contact en mairie. Trois jours plus tard, nous avons son retour : la licence serait remise à la fin de la semaine suivante. Nous pouvons donc signer la vente en toute tranquillité.
Entre-temps, le couple me demande de contacter un technicien de notre réseau pour effectuer un premier devis sur les travaux à faire avant leur arrivée, et j’en profite pour leurs raconter les petits problèmes rencontrés auparavant : oui, seulement après la guerre, mais ils me remercient de ne pas les avoir appelés et de leur avoir épargné du stress, surtout en sachant que la distance leur donne la sensation de ne pas tout contrôler.