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Warren Buffet, 8ème fortune mondiale et célèbre investisseur le martèle depuis le début de la guerre en Ukraine : ces temps troublés ne doivent pas freiner les investissements.
Pourquoi ? Parce que si le conflit devenait global, cela influerait sur la valeur de l’argent qui diminuerait. Une hérésie pour certains mais pas pour d’autres.
Si l’on regarde les chiffres de près, la guerre n’a pour le moment pas impacté directement les investissements immobiliers. Il semblerait même que le climat d’incertitude dans lequel elle nous plonge pousse pour le moment les investisseurs à se tourner vers la pierre, une valeur refuge. C’est donc le moment d’investir en Espagne.
Les intérêts encore négatifs (plus pour longtemps attention…!) et l’inflation en hausse rend l’immobilier plus rentable que d’autres types d’investissements comme les dépôts ou les titres de créances. La banque d’Espagne évoque une rentabilité annuelle de 7% pour le 4ème trimestre 2021.
Le marché est en pleine santé depuis le vaccin, il est même euphorique depuis mars 2021. Le mois de mars 2022 est d’ailleurs le meilleur mois de mars depuis 15 ans avec près de 60.000 opérations. La pandémie a fait rentrer de l’argent dans les caisses.
Les experts de Knight Frank -conseil international en immobilier- semblent avoir vu juste fin 2021 : en 2022, l’Espagne devrait se confirmer comme une destination d’investissement clé dans le secteur immobilier. Plus précisément, selon leurs prévisions, l’Espagne recevra un investissement immobilier de près de 7 500 millions d’euros.
Plage de Barcelone
Selon les derniers chiffres publiés par les Registradores de España (ndlr : le Collège des Greffiers), quasi 600.000 biens ont été vendus en Espagne en 2021, soit 34,5 % de plus qu’en 2020 et le plus haut niveau des 14 dernières années. Le capital emprunté, pour sa part, s’est envolé avec 57 582 millions d’euros, un record depuis 2010 selon l’INE (ndlr : l’Institut National des Statistiques)
Le scénario devrait se maintenir encore un peu même si Christine Lagarde, la présidente de la BCE a préparé les esprits ce lundi 23 mai 2022 à une hausse des taux. « L’ère des taux négatifs pourrait cesser d’ici la fin du 3ème trimestre » a -t-elle prévenu. Une nouvelle qui pourrait booster les acquéreurs et les conduire à avancer leur projet d’achat.
Source : Registradores de España
En 2021, les étrangers ont acheté 16.000 logements et au deuxième trimestre 2022, les ventes pour cette catégorie d’acheteurs ont augmenté de 14,1% par rapport au 1er trimestre de la même année selon les Registradores de España (le Collège des Greffiers)
Qu’il s’agisse de s’y installer ou d’acheter pour louer, l’Espagne reste très attractive. Depuis 2014 et la fin de la grande récession, le poids de l’acheteur international va crescendo. On note une augmentation constante des acquisitions immobilières de la part des étrangers avec 5 trimestres consécutifs en hausse.
Selon le Consejo General del Notariado (ndlr : le Conseil Général du Notariat) qui a publié ses chiffres en avril dernier, les acquisitions immobilières ont bondi de 41,9% chez les étrangers en 2021 par rapport à la même période de l’année précédente.
Le chiffre est à pondérer par la baisse du second semestre à cause du COVID mais tout de même. Après une légère baisse du nombre de leurs investissements au moment du Brexit, au 1er trimestre 2022, les Britanniques sont de retour sur la première marche du podium avec 12,03% du volume des ventes aux étrangers. Ils sont talonnés par les Allemands (9,47%) puis les Français (7,5%).
Évidemment, le choix du lieu d’une acquisition immobilière est très personnel et stratégique. Évidemment, vous trouverez en ligne des conseils différents et parfois contradictoires à vos yeux car tout dépend du point de vue d’où l’on se place. Évidemment, gare à la cacophonie.
Chez J’achète en Espagne, nous avons choisi de vous lister notre top 3 et de vous expliquer pourquoi nous avons fait ces choix.
En termes d’attractivité immobilière, le match Barcelone Madrid est un clásico. Les deux premières villes d’Espagne sont des pôles d’investissement majeurs où le niveau de rentabilité est bon (autour de 5 % en janvier dernier) et le risque est très bas, notamment pour les investisseurs étrangers. Villes bouillonnantes culturellement et qui regorgent d’opportunités économiques, elles sont aux 6ème et 7ème rangs des meilleures villes du monde pour investir selon le réseau immobilier Barnes !
Dans la capitale, le projet immobilier Madrid Nuevo Norte a enfin démarré et il prévoit de transformer Madrid en profondeur (des espaces verts, un réseau de transport modernisé et durable, 1,5 million de m2 de bureaux, création de 250.000 emplois…) Un point intéressant mais notre coeur penche plutôt pour Barcelone. Pourquoi ? Rien à voir avec le Barça, quoique…
Barcelone la cosmopolite est stratégiquement située ce qui fait d’elle une porte d’entrée sur l’Europe : train, avion, mer, on peut rejoindre toutes les grandes villes très facilement. Un point important pour les étudiants de passage et bien entendu pour les investisseurs.
Ses plages méditerranéennes, son architecture dont la renommée n’est plus à faire -qui n’a pas entendu parler de Gaudi ?- son offre culturelle et de loisirs attirent les touristes. Ils étaient 6 millions en 2021. Mais Barcelone est aussi devenue LA ville des start-ups, et c’est ce point qui nous a convaincu.
Avant la pandémie, les usages avaient commencé à changer mais le COVID a accéléré cette tendance de fond. Et cela profite à des villes comme Barcelone. Une population jeune et dynamique la voit désormais comme la ville idéale. Des talents du monde technologique qui peuvent aujourd’hui travailler de n’importe où tant que leur connexion Internet est bonne et qu’ils peuvent se déplacer facilement.
Preuve en est, le District 22@barcelona est sur toutes les lèvres. Une sorte de laboratoire d’innovation permanente qui a été pensé pour encourager la croissance économique de la ville et faire de Barcelone, non plus uniquement une ville touristique mais aussi une plaque tournante pour les starts-ups et les entreprises technologiques innovantes (la tech, la green economy, la finance green…). 4000 entreprises dont Mediapro, Amazon ou Facebook s’y sont installées.
Le District 22@barcelona s’étend sur 200 hectares. Il va de la place des Glòries, aux deux côtés de la Diagonal et rejoint presque la plage.
Avec 180 millions d’euros injectés, le quartier de Poblenou est profondément transformé et la réputation de Barcelone aussi.
La loi sur le gel des loyers en Catalogne qui était entrée en vigueur en septembre 2020 vient d’être supprimée par le conseil Constitutionnel espagnol. En mars 2022, il l’a considéré caduque puisque selon lui, seul le gouvernement national a le pouvoir de la compétence en matière de politique de logement. Un coup dur pour les locataires mais… une embellie pour les investisseurs. Ils paient le mètre carré plus cher -4000 euros/m2 en moyenne en avril 2022 selon le portail idealista- qu’ailleurs mais la rentabilité est garantie.
Si vous voulez en savoir plus sur l’investissement immobilier à Barcelone, n’hésitez pas à regarder notre webinar sur le sujet:
Webinar #2 L'immobilier à Barcelona, octobre 2022
Romain Traversino, directeur commercial de J'achète en Espagne, et Valentino Skoda, city manager à Barcelone, font le point sur l'immobilier dans la capitale catalane. Prix, opportunités, rentabilité...Longtemps dans l’ombre de Barcelone qui n’est qu’à 3 heures 30 de route, le dynamisme de Valence, la troisième ville d’Espagne est aujourd’hui indiscutable. Faut-il y voir un lien avec la fièvre indépendantiste ou avec le fait que la 3ème ville soit au 17ème rang national en termes de Prix au m2 ? Probablement un peu des deux.
La capitale de la Communauté Valencienne jouit d’abord d’une localisation idéale. Située sur le littoral, bordée par la mer et la montagne, elle est parfaitement connectée par la route, le train, les airs ou la mer. Elle est donc, logiquement, de plus convoitée par les investisseurs. Il était temps !
Son climat, l’atmosphère de tranquillité qui y règne, sa gastronomie (on commande plus volontiers une paella valencienne qu’une paella barcelonaise, n’est-ce pas ?!), son offre académique d’excellence et tournée vers l’étranger (lycée français, British college…), ses musées comme celui de la céramique dont elle est le berceau ou la Cité des arts et des sciences dont l’architecture audacieuse du valencien Santiago Calatrava a fait la renommée mondiale… tous les ingrédients du succès sont réunis.
En 2022, Valence a été choisie pour être la capitale mondiale du design. Un honneur qui la met donc enfin sous les projecteurs… Le coup de pouce qui lui manquait.
Depuis la fin de la pandémie, la Communauté Valencienne capte aussi une population de jeunes cadres dynamiques et de digital nomads qui peuvent désormais télétravailler tout en profitant d’une qualité de vie inégalable.
Notre choix pour celle que les habitants du coin surnomment « la millor terreta del mon » (« la meilleure ville du monde » en valencien) est aussi à lire à l’aune de ses prix au m2 encore abordables (1500 euros au m2 en moyenne) et de la hausse globale des loyers en Espagne. C’est la tendance en ce moment. Certaines villes battent des records historiques. En cause ? L’inflation et la chute de l’offre.
A Valence, les loyers ont augmenté de 15,6 % au cours de cette année selon le portail immobilier Fotocasa ! C’est presque 3 fois plus qu’à Madrid ou Barcelone. La ville représente donc un vivier d’opportunités pour les investisseurs qui cherchent avant tout la rentabilité.
Dans la Communauté Valencienne, les transactions immobilières sont clairement à la hausse : plus 21% cette année et les acheteurs étrangers ont de plus en plus de poids dans la région. En 2021, ils concentrent 24,3 % de ces transactions (les Britanniques en tête).
Chaque crise engendre des changements et la pandémie du COVID n’échappe pas à la règle. Il y a eu un avant et un après COVID pour l’immobilier aussi. Les usages ont changé, les acquéreurs ont identifié de nouveaux besoins, ils sont tous à la recherche de plus d’espace qu’il s’agisse de mètres carrés ou de nature à proximité de leur lieu d’habitation.
La pandémie a donc logiquement engendré un changement de paradigme : comme on le voit en France, les grands centres urbains espagnols se vident au profit de plus petites villes qui semblent plus respirables.
Dans son rapport d’avril dernier, Idealista, la marketplace de l’immobilier du sud de l’Europe pointe du doigt l’intérêt croissant des internautes et donc des futurs acquéreurs pour les petits villages proches de côtes mais relativement éloignés de l’euphorie touristique. Dans cet état d’esprit, les derniers chiffres des Registradores de España (ndlr : le Collège des Greffiers) montrent que le poids des 8 principales capitales de province a tendance à baisser face à celui de leur province. Pour Valencia par exemple est passée de 37,3 % en 2016 à 29,3% aujourd’hui. Des baisses similaires sont à remarquer pour Madrid, Barcelone ou encore Séville.
En termes du nombre d’habitants, Torrevieja est la cinquième ville de la communauté Valencienne. On comptait 82.842 habitants au recensement de 2021. Autoroute, aéroport d’Elche accessible en bus, gare de San Isidro, cet ancien village de pêcheurs bien connu des espagnols qui s’y ruent souvent l’été, est situé à mi-chemin entre Murcia et Alicante. Il est très bien connecté et il commence à s’ouvrir sur le monde. La ville accueille aujourd’hui 40 nationalités selon son office du tourisme. Un résident sur trois a une nationalité autre qu’espagnole.
Les eaux roses de son lac salé attirent les avides de nature et les instagrammeurs. Elle vient d’ailleurs d’être élue l’un des plus beaux joyaux cachés d’Europe par European best destination.
Au cours du mois de mai 2022, le conseil municipal de Torrevieja réuni en session extraordinaire a approuvé une modification budgétaire qui va permettre d’injecter plus de 48 millions d’euros dans l’économie pour améliorer ses infrastructures et accentuer encore l’attractivité économique de la ville. Le conseiller aux finances, Domingo Paredes veut continuer de faire bouger les choses.
Une aubaine pour cette petite ville qui a de beaux jours devant elle.
Si vous voulez en savoir plus sur l’investissement immobilier à Valence, n’hésitez pas à regarder notre webinar sur le sujet:
Webinar : L’immobilier dans la communauté Valencienne
L’immobilier à Valence et dans sa région attire de plus en plus de francophones. Troisième ville la plus peuplée d’Espagne après Madrid et Barcelone, Valence vient d'être élue meilleure ville du monde...Dans ce type de classement, le champion doit être performant dans tous les domaines examinés mais il ne doit pas nécessairement être le premier et, pour nous, Málaga coche beaucoup de cases.
Málaga est située au sud de la péninsule ibérique sur la Costa del sol.
Cette région s’étend sur 150 kilomètres de littoral et offre une variété de paysages à couper le souffle. 140 plages de sable blanc aux eaux transparentes, des falaises (Maro), des grottes (Nerja) et des villes aux ambiances différentes : de la tranquillité de Casares à l’effervescence de la charmante Málaga, sa capitale…
Dans la ville natale de Picasso, l’architecture est splendide, le climat est doux toute l’année, un des meilleurs du monde. 320 jours d’ensoleillement, parfait pour une retraite sous le soleil ou pour attirer les vacanciers. Soho le quartier branché de la ville, devenu l’emblème de sa culture underground et le Centre d’Arts Contemporains de Málaga (CAC Málaga) ne cessent de séduire les touristes de passage.
En avril dernier, à l’occasion de la Semana Santa, Juanma Moreno, le président de la junta a même parlé de la résurrection de son tourisme. L’Andalousie attend 29,5 millions de touristes cette année. Peut-on alors douter du pouvoir d’attraction économique de Málaga ? La réponse est non.
Au premier trimestre 2022, Málaga a enregistré 10.884 transactions immobilières soit 51% de plus que l’an dernier à la même période selon le Colegio de los Registradores (ndlr : le Collège des Greffiers). Un record depuis 2007. Le prix au mètre carré a augmenté de 8,7 % et il atteint aujourd’hui des sommets : 2220 euros !
On est encore loin des prix de San Sebastian, la ville la plus chère d’Espagne (3755 euros/m2 selon Tinsa) mais l’augmentation est parlante.
La capitale andalouse a par ailleurs, plus que jamais, séduit les investisseurs au-delà des frontières. 33,7 % des acquéreurs sont étrangers selon le Consejo General del Notariado (ndlr : le Conseil Général du Notariat). A noter, l’Andalousie a capté à elle seule 55% de ventes effectuées par cette typologie d’acheteurs. Un chiffre qui devrait influencer fortement le dynamisme du sud de l’Espagne. Etonnamment, Madrid est elle sous la moyenne nationale 41,9%.
A Málaga, comme dans toute l’Andalousie, la fiscalité est avantageuse, un atout pour séduire.
L’impôt sur les droits de succession a été supprimé en 2019 ! Les successions égales ou inférieures à 1 000 000 euros resteront non taxées, les successions supérieures à 1 000 000 d’euros bénéficieront d’un allégement fiscal de 99%, ce qui signifie que vous ne payez que 1% sur tout ce qui dépasse le seuil d’un million. Une donnée qui fait du bien au portefeuille de potentiels acquéreurs.
Par ailleurs, la location de courte durée, type Airbnb y est moins encadrée à Málaga qu’ailleurs. A Barcelone par exemple, il est devenu extrêmement difficile d’obtenir une licence touristique et elle ne se transmet pas au moment de la vente du bien. Dans la communauté Valencienne, il en va de même. Un casse-tête pour les investisseurs dont la volonté d’achat a été motivée par l’installation de ces nouveaux usages. Jeu, set et match.
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